Partager l'article ! Apothéose des sens: Quand je sens ton corps se frotter au mien,Et que parcourt sur ma peau la douceur de tes mains,Je suis entièrement poss& ...
Lundi 14 janvier
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Quand je sens ton corps se frotter au mien,
Et que parcourt sur ma peau la douceur de tes mains,
Je suis entièrement possédé par toi,
Pendant que me berce la douceur de ta voix.
Vibrations sur mon corps, vibrations dans mon coeur,
Quand ne plus se réveiller ne nous fait plus peur .
Et que l'orgasme ne veut jamais s'arrêter.
Plaisir semblant durer une éternité.
Fontaine abondante sortie de ton triangle vénusien,
Quand mon sexe se dresse en toi dans une nuit sans fin.
Quand nos reins miment une danse endiablée,
Prés de Dieu nos étreintes semblent nous emporter.
Et que parcourt sur ma peau la douceur de tes mains,
Je suis entièrement possédé par toi,
Pendant que me berce la douceur de ta voix.
Vibrations sur mon corps, vibrations dans mon coeur,
Quand ne plus se réveiller ne nous fait plus peur .
Et que l'orgasme ne veut jamais s'arrêter.
Plaisir semblant durer une éternité.
Fontaine abondante sortie de ton triangle vénusien,
Quand mon sexe se dresse en toi dans une nuit sans fin.
Quand nos reins miment une danse endiablée,
Prés de Dieu nos étreintes semblent nous emporter.
Photo de Cyril Torrent
Publié Janvier 2007
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Muse
Merci de la charmante visite ...
Tout de senteur, tout de sève, la maison s’ouvre
Dans ce voyage aux mille irisations
Qui me prolonge en toi, corbeille offerte de senteurs
Dans cet espace de regards enrubannés, gorges embaumées
Où le dahlia et l’ancolie butinent sur tes lèvres.
Tu es de jade transparente, pierre blessée, écorchée
Tu es de sable et d’eau, tu coules dans ma main Mon corps te capte, torrent de feu, volcan qui tressaille Et collines ondulantes au fond de la vallée.
J’aime tes soupirs tendus de mains qui tricotent la laine
soyeuse Traces de baisers sur ma bouche comme des fleurs ennoblies Visage emmuré d’extase au cadran solaire
De l’abeille qui danse sur la ruche qui déborde de miel.
Tu es le spasme de la vague mourante, étale
Qui irrigue la plage luisante, étendue et lasse
Où le vent n’est pas plus qu’un souffle qui me porte
vers ton être
Mains qui me retiennent et m’attachent au bastingage.
Je suis de toi, je suis de tes mains qui me pétrissent
De tes lèvres qui me disent
De tes seins qui me nourrissent
De tes envies qui nous unissent.
Quand ton corps sous le mien s'enflamme
Et devient mien
Je crie
Tu cries
Ton nom
Mon nom
Et plus personne au monde
Ne peut nous arracher
A cette onde puissante
Qui nous prend
Qui nous tord
Qui te fond avec moi
Qui me fond avec toi.
Le plaisir a passé
La vague du désir.
Bonjour lib'...
Cela fait plaisir de te voir de retour.. et quel retour ^même malgré l'état de mon dos (actuellement) je frissonne à la seule lecture de ta plume.
Baisers lib'
Quel plaisir de te retrouver Lib tes vers commençaient à me manquer.
C'est toujours aussi érotique et charnel comme j'aime.Je crois que cette dimension charnelle que tu traduis si poètiquement qui me plait
plein de baisers doux
Armandie
tu nous a manqué Lib enfin je parle pour moi mais bon ça faisait longtemps "komem"...sourire ...
tu m'emportes aussi avec tes écrits , je t'embrasse ...
byzoo...
kal...
bisous bisous Lib
Bise